Organisateur : Altitude 723
9 avril 2017 Pas de changement sur les circuits, direction le col du Pin Bouchain pour commencer en passant devant l'observatoire astronomique.
On rejoint ensuite le 1er relais qui se trouve un peu plus bas.
Tartine à la confiture de myrtille produite dans la ferme et une tranche d'orange.
Ensuite, c'en est fini du plat, les choses sérieuses commencent...
Le point le plus bas du circuit, sous la voie ferrée.
On se réchauffe vite ensuite, à peine 100m de plat et c'est reparti pour une côte jusqu'au 2ème relais.
On verra à plusieurs reprises quelques arbres couchés par la tempête Zeus de mars.
Après le 2ème relais, encore un petit effort pendant que d'autres digèrent.
Enfin, le point culminant de la marche, à environ 860m.
Le mât de mesure du vent n'a toujours pas laissé la place aux éoliennes, mais il est entouré d'un splendide champ de pissenlits.
Fin du circuit estivale, on recherche l'ombre, rien qu'en attendant 5 petites minutes au dernier relais pour la crêpe.
Les quelques passages sur le goudron (qui commence à fondre !) ne sont pas très agréables sous cette chaleur.
Cette année, après un hiver froid, la végétation n'était pas en avance.
Après un mois de mars chaud, et le beau temps de ces derniers jours, l'évolution des fleurs et des feuilles est très rapide.
Sur mon point de repère (photo de droite), on est aussi avancé qu'en 2014 maintenant.
Un peu de pluie serait cependant bienvenue, l'hiver n'a pas été très arrosé.
Température de "seulement" 21°C à l'arrivée, la ressentie serait plus proche de 25 -30 °C !
Saucisson-patate pour ne pas se refroidir dans la salle.
10 avril 2016
Départ donc par les crêtes, en passant devant l'observatoire, avec une température acceptable de 6°C, mais un ressenti presque glacial sous un vent d'est bien frisquet. Si la vue est bien brumeuse côté Rhône, on aperçoit plus nettement côté Ouest Roanne et les monts de la Madeleine.
Après le passage sous la voie ferrée, remontée sous les chauds rayons du soleil.
En remontant sur les crêts, le vent est toujours bien frais.
Les bêtes sont de retour dans les prés.
Problème électrique au dernier relais : dommage on n'aura qu'une seule crêpe ...
Saucisson chaud et patates bien sur à l'arrivée, la température est montée à 16°C mais le ressenti est toujours frais sous le vent.
13 avril 2014
La température est agréable (9°C), et heureusement le vent est quasi nul sur le départ, qui, comme les années précédentes, se fait par les crêtes.La difficulté de la journée, pour remonter du fond de la vallée sous la voie ferrée (alt 500m environ) et rejoindre le sommet vers 850 m.
En approchant des hauteurs, on transpire de moins en moins !
Circuit de quelques kilomètres supplémentaires par rapport aux années précédentes, en suivant le GR7 sur les crêts.
Après un mois de mars et un début avril doux et ensoleillé, la végétation est beaucoup plus avancée que l'année dernière (voir la même photo plus bas).
Il faut dire que le printemps 2013 a été particulièrement maussade, et pas seulement en mars-avril.
Retour au village pour attaquer le saucisson et ses patates.
18°C à l'arrivée sous le soleil mais une température ressentie nettement plus fraîche à l'ombre et exposé au vent.
14 avril 2013 Journée de printemps, et même d'été, annoncée pour ce dimanche, avec 24 °C prévus à Lyon.
10 avril 2011
Température de 12°C effectivement douce au départ, avec une légère brise de sud-est sur les crêtes, et un grand ciel bleu. Dire qu'il y a une semaine, la température n'a pas dépassé les 5°C aux Sauvages, sous un ciel gris ... Pas de surprise côté circuit : le tracé sera quasiment identique à celui de 2011. Départ par la route Napoléon, parsemée de débris pas très naturels sur une portion, débris "recyclés" du chantier de l'autoroute. Direction Ouest, vue assez nette sur la plaine roannaise et les monts de la Madeleine. Relais du Crêt Pirot et sa traditionnelle confiture de myrtilles locales. après le relais, c'est la descente, avec un parfum de campagne.... Point bas du circuit marqué par la traversée du tunnel sous la voie de chemin de fer. Petit coup de chaud dans la côte qui suit, surtout dans les parties protégées du vent. En se rapprochant du sommet, le vent est plus sensible, et il ferait presque frais (quand même 20,2°C de température maxi mesurée à la station météo des Sauvages). La vue est également bien dégagée sur l'est, bien que légèrement brumeuse. On découvre les massifs encore blancs du Jura, le Mont Blanc bien sur, et la chaine des Alpes jusqu'aux Ecrins. Côté est on aperçoit aussi les sommets enneigés de Chalmazel. Le printemps n'a vraiment commencé que cette semaine : la végétation est bien en retard, quand on compare par exemple cette photo avec celle prise 2 ans plus tôt au même endroit (voir plus bas). Aucun arbre n'est encore fleuri, et les fleurs dans les champs sont encore rares. Mais cette fois on est sur la bonne voie : le coucou (l'oiseau) a poussé la chansonnette au début de la marche, et on voit les hirondelles s'activer autour des fermes. Après un dernier relais gourmand, avec crêpes et gauffres s'il vous plait, et en plus de la confiture maison, retour à la salle des fêtes sous une température presqu'estivale (je dirais de l'ordre de 20°C, car je crois que mon thermomètre voiture n'était pas fiable sur ce coup-là: 23°C affichés). Dans la lignée des autres excellents relais, saucisson-patate-chaud à l'arrivée. Après cette semaine quasiment estivale, où de nouveaux records de chaleur ont été battus (voir l'édito du 8 avril sur "la météo à temps perdu"), il fait déjà doux ce matin : 13 °C au thermomètre de la voiture, et un grand soleil : chouette, on va pouvoir randonner léger, en T-shirt...
Mais on change vite d'avis en sortant de la voiture : le fond de l'air est bien frais, la faute à un petit vent de nord bien sensible.
Il y a une semaine, à Sainte Colombe sur Gand, la température était presqu'identique (12°C), mais avec un vent de sud, c'était au contraire une impression de temps lourd qui dominait, et la laine était vraiment de trop, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
Le village des Sauvages est situé sur la la ligne de partage des eaux Atlantique/Méditerranée. Au départ, on suit cette ligne sur les crêtes. C'est aussi le tracé du GR7.
Jusqu'au premier relais, le circuit est relativement plat, sur les crêtes, avec un bout sur la route Napoléon qui passe au col du pin Bouchain (759 m).
Côté Ouest, belle vue sur Amplepuis. Le temps est brumeux, on ne distingue même pas Chalmazel.
Après le relais (et sa tartine à la confiture de myrtilles locales), une bonne descente en direction du fond de la vallée, par un chemin bien caillouteux.
Traversée du tunnel sous la ligne ferroviaire Lyon-Roanne : cette fois, on est au fond. Une centaine de mètres au plat, et on rattaque tout de suite la côte, avec une bonne chaleur sur un versant à l'abri du vent.
Un relais original avec des bancs en bottes de foin.
La côte n'est pas finie, le circuit remonte sur les crêtes, toujours au vent !
Le coucou est là pour nous encourager avec son chant.
Une forêt de sapins bienvenue : là au moins on est à l'abri du vent.
Mais on retourne vite en terrain dégagé, avec un vent qui s'est renforcé depuis le matin, et pas très agréable, au niveau de la station Météo-France des Sauvages.Cette station aura enregistré à 14h un vent moyen de 40 km/h avec des rafales à 59 km/h (direction Nord/ Nord-Ouest), et une température de 16°C : c'est pas encore l'été !
Descente ensuite en direction de Notre Dame de la Roche. Le ciel est toujours tout bleu, mais brumeux : on distingue à peine le Mont Blanc.
C'est le printemps, avec quelques nouveaux-nés tout frais (la tache noire, c'est un agneau):
Passage au pied de Notre Dame de la Roche, site de pèlerinage avec une chapelle.
La fin du circuit est moins vallonnée, et plus chaude (19°C à l'arrivée), malgré un vent très présent.
En une semaine, la végétation a considérablement avancé : à Sainte Colombe, les arbres commençaient tout juste à bourgeonner. Une semaine plus tard, la plupart sont en fleurs, et certains déjà feuillés. Et encore, on est en altitude (700m), la plaine est beaucoup plus avancée.
Après des bonnes crêpes au dernier relais, un bon saucisson chaud avec ses patates nous est offert à l’arrivée par les accueillants Sauvageons.
|
Photos >